Dans un monde marqué par la perte de repères, Dominique Blain ausculte le présent à la lumière d’un passé perpétuellement documenté, comme un besoin individuel de sonder, dans le temps et dans l’espace, la distance entre le réel et sa représentation, et comme moyen possible d’envisager, en tant qu’individu et en tant qu’artiste, les ambivalences de l’humain.
– Louise Déry, Monuments– Dominique Blain, 2004